mardi 21 décembre 2010

Isa violée par Joffrey!

ARTICLE

L’union fait la force. De fois nos propres parents sont les tenanciers de ce qui nous arrive dans la vie. Agée de 17ans, Isa est née en Russie (ex URSS). De nationalité congolaise, Isa ; sa sœur ainé et deux de ses frères sont victimes du divorce entre leur père et leur mère.

Les époux ainsi séparés vont se repartir à chacun deux enfants à sa charge. Isa va devoir vivre avec son père mais seule et la nouvelle maman qui n’est autre que la femme de son père.

Arrivée nouvellement à Brazzaville et pour la première fois, Isa fera la connaissance de Marcelline qui à 24 ans, elle est plus grande qu’Isa et vive dans le même secteur.

Cette dernière est inscrite dans le même lycée que Marcelline. Jour pour jour, Isa s’adaptait au fur et à mesure aux conditions de vie de Brazzaville. Catholique qu’elle était, elle se confiait à une sœur appelée Sophia.

Cette dernière l’encourageait et l’incitait à la prière, d’être toujours en perpétuel communion avec Dieu. Il faut dire que la femme du père d’Isa ne consacrait guère son temps à Isa, elle ne se contentait que de son mari et de leur amour, le reste était son valeur pour elle.

Une vraie congolaise quoi !
Isa se retrouve sans affection maternelle que paternelle car son père était souvent dehors et ne rentrait que à des heures imbues.

Tout ce qui se passait de la journée, il n’en savait rien et ne disait guère mot. Comme Sophia était la seule confidente d’Isa, du coup Isa la prenait pour sa mère et ne lui cachait plus rien.

Marcelline étant la seule copine qu’Isa fréquentait dans leur lycée.
Marcelline à son âge avait déjà des mésaventures d’amours. Elle était toujours aux côtés des jeunes garçons du lycée et parmi ces derniers, l’un d’eux convoitait la petite Isa très grande de taille bien moulue dans son corps. Marcelline connaissait la maison où vivait Joffrey, les deux vont s’entendre à organiser une visite qui n’a pas de nom dans le répertoire des visites inscrites.

un jour,Marcelline et Isa sont en classe, le professeur n’était pas présent dans l’enceinte du lycée. Et voilà que Marcelline va demander à Isa de l’accompagner. Une fois arrivée, Marcelline va placer Isa dans la chambre de Joffrey. Quand le garçon se présente, Marcelline va demander à Isa de l’excuser car elle partait s’attraper un jus pour elles.

Isa en attente va s’apercevoir que Marcelline on a mis du temps et qu’elle ne revenait pas. Elle dit au garçon qu’elle ne connaissait pas et ne me le maîtrisait non plus qu’elle devait repartir aux cours mais celui là le prends par la main et la pousse de force sur son lit et la viole.

Isa est rentrée en pleurant chez elle. De peur que son père puisse la réprimander, elle était contrainte de ne rien dire mais plutôt de garder le silence. Isa va passer sa nuit d’enfer ce jour là et elle avait pleuré toute la nuit.

Le lendemain matin, Isa décide de se rendre chez la sœur Sophia pour l’expliquer ce qui s’était passé. Très en colère Isa avait juré de ne plus jamais causer Marcelline de sa vie. Mais après conseil de la sœur Sophia, cette dernière va offrir ses peines et à Dieu.

La sœur Sophia va emmener Isa à l’hôpital des sœurs à Brazzaville pour être ainsi traitée. Une semaine va s’écouler, Marcelline va refaire surface. Dès qu’elle rentre en classe, elle va s’apercevoir qu’Isa ne fait plus attention à elle pour tout le mal qu’elle l’avait causé. Marcelline s’approche et demande à sa copine si elle ne l’avait pas vu.

Isa va poser la question à Marcelline qu’est ce que je t’ai fait pour que tu puisses me livrer telle que tu l’a fais la fois passée ? Marcelline la répondit, je croyais que tu connaissais déjà les hommes. Excuse-moi ce n’était de ma faute sauf que j’étais harceler par ce Joffrey.

Ce qui est vrai Isa était maintenant contrainte d’être l’amie intime de Joffrey juste pour oublier cette première relation sexuelle non décidée. Le pire est que ce Joffrey était aussi infidèle et souvent Isa le trouvait toujours en compagnie des filles soit sur son lit en plein action ou dans des milieux malsains.

En fait pour Isa l’année va mal se terminer car elle va perdre son père. Une fois inhumé, la mère d’Isa présente aux funérailles va demander aux parents paternels d’Isa qu’elle allait la reprendre pour l’emmener avec elle.

Ce malheur était une délivrance pour Isa la benjamine. Aujourd’hui Isa est en France au côté de sa mère et ses trois frères.

Quel monde, allez y comprendre ! Et Joffrey n'a pas encore payé cette violence, seul Dieu sait quel est le sort reservé à ce dernier!

vendredi 29 octobre 2010

Elira paye le prix de sa passion

ARTICLE: Elira MOKO paye le prix de sa pasion.


L’ ennemi de la femme c’est la femme.
En ce temps où nous prônons la parité sur la question du genre, nous nous rendons compte que nos propres adversaires sont issus du même sexe que nous ; alors allez y comprendre.

Jeune, belle, sociale talentueuse et digne Elira Moko, trentaine révolue a été soumise à vivre le spectacle artificiel de sa vie. Nous disons artificiel parce qu’elle a été admis en tant que secrétaire stagiaire dans l’une des chaînes de télévision privées de Brazzaville.

Stagiaire comme toutes personnes qui démarre nouvellement un boulot. Elira doit sa carrière à son feu père Eric Moko qui l’avait placé et formé. Elira a donc commencé à exercer dans cette chaîne privée comme stagiaire débutante puis trois (3) après, elle a été confirmée secrétaire de direction.

Détentrice d’une licence en relation public, cette dernière va donc bénéficié d’une faveur faite par l’un de ces collègues d’administration, qui avait toujours pensé qu’elle ferait mieux journaliste que secrétaire de direction. Ce dernier va l’inscrire sur la liste de formation des journalistes – documentaristes, ainsi fait, Elira va donc participer à cette formation qui au bout du compte va l’orienter et la définir sur plusieurs séances d’entraînement et de traitement de sujets journalistiques. Sa chance ne se faisait que se multiplier. De formation en formation jusqu'à passé une (1) année à l’extérieur du pays pour ajout de capacités et de connaissances.

De retour au pays, la jalousie de ces collègues, consœurs et coéquipières de travail va manifester. Celles a qui elle avait ramenés un petit cadeau symbolique de l’Europe s’est dite son ennemi et s’est ligué contre elle. Elira était contre tous.

Un simple bonjour était traité d’orgueil, tous propos malveillant était à sa merci. L’atmosphère et le climat des locaux de cette chaîne privée était invivable et intolérant. Le pire va arrivée quand après décision du staff, Elira va devoir commencer à présenter diverses émissions d’animation et de conscientisation outre son poste titulaire de secrétaire que son directeur ne voulait a aucun moment la libérer vu sa volonté et sa détermination à travailler.

Elles contre elle ; une guerre de ne pas vouloir voir l’autre s’émerger va s’installer. Elles vont décidées de mettre un noir, une page de tourments, une zone de turbulences dans la vie d’Elira. Un vendredi saint de la semaine donnera un coup de fil à Elira, lui demandant de rejoindre l’équipe de production pointer vers le collège d’enseignement général dénommé Matsoua à Brazzaville.

Arrivée, dès sa descente du taxi, elle va être accueillie et récupérer par deux (2) bons gaillards bien remplient de muscles et cela pour une direction inconnue. Trois (3) jours après, Elira refait surface sans mot dire de ce qui s’était passé durant ces trois (3) jours de calvaire, de douleurs, elle n’a pensé qu’à écrire une démission et décide de ne plus travailler dans les médias, et encore moins dans cette chaîne privée pour tout ce qu’elle avait endurer. Nous avons rencontré Elira ici à Pointe – Noire, elle travaille dans une clinique médicale de la place, on s’est fait amitié et l’on cause sur divers sujets qui a abouti à ce témoignage.

Ce qui est vrai Elira panse une plaie indélébile dans son cœur, mais elle nous a fait savoir qu’elle avait connue Dieu et avait su pardonner toutes les fautes et torts que ces collègues ont commis sur elle. Elle s’est qu’elles étaient de beaucoup dans cette affaire. De peur de subir d’autres torts, elle s’est recroquevillée comme un escargot, elle est maintenant très réticente envers les personnes qu’elle croise pour la première fois. Gagnant sa vie tant bien que mal, Elira se dit que son premier ennemi n’est qu’une femme qui se fait aussi passée pour une victime. Cette forme de violence éteint la flamme qui jaillit dans nos sœurs qui veulent vraiment s’exercer et travailler dans toute leur sincérité. N’est ce pas que ces femmes se mettent contre l’émancipation de la femme. Femmes réfléchissons que voulons nous exactement ? Parité – émancipation ou violences sous toutes formes à notre égard ou encore évolution. Car nous devenons nos propres ennemis.