Médiatiser par les différentes chaînes de la place, c'est dans la salle des mariages de la mairie de Tié-tié, 3eme arrondissement distinct de la capitale économique du Congo-Brazzaville que les femmes et les jeunes filles Congolaises ont célébrées la journée internationale pour l'élimination des violences faites à l'égard des femmes. A la mairie de Tié-tié, c'est autour de l'activité de madame Anne-Marie MAMPOUYA, Directrice Départementale de la promotion de la femme au développement à Pointe-noire en partenariat avec l'association de l'honorable député Gaétan NKODIA pour le développement que les femmes ce sont réunis pour dénoncer toutes formes de violences dont elles sont victimes. Cette rencontre a suscitée une causerie –débat au cours de laquelle plusieurs femmes de la société civile et administrative dont les commerçantes, les artistes, les journalistes, les policières, les jeunes filles mères (signalons que c'est la couche la plus discriminée) ce sont exprimées à vive voix. La Directrice Départementale à conscientiser la femme et la jeune fille, l'inciter à l'émancipation sur tous les plans car la femme et la jeune fille congolaise est très en retard du point de vue developppement .
Les interventions des femmes et des jeunes filles recueillies à cette rencontre sont citées ci-dessous : une femme commerçante qui a dénoncée la violence conjugale à laquelle, elle était victime, va réprimander son mari à la police au service ordre public, le policier de garde la renvoie à la maison en disant qu'il est mieux d'arranger cela à deux. Cette commerçante pense qu'il doit avoir des lois qui doit régir la femme battue par son mari ou encore un montant à payer pour injures, coûts, blessures, malheureusement la femme reste toujours victime dans tous ces plans. Elle doit asseoir sa personne, sa profession, ses droits, devoirs et obligations contrairement à l'homme qui veut toujours dominer. Une autre intervention d'une femme juriste qui propose que l'homme doit soutenir la femme dans son épanouissement, la motiver et non la brimer, la violenter sous toutes les formes diverses car cela entrave aussi au développement, à l'expansion du pays. Elle cite : femmes levons-nous et mettons-nous au travail pour gagner la bataille. La Directrice Départementale Anne-Marie MAMPOUYA a donnée une interview sur diverses violences faites à l'égard des femmes surtout elle demande aux femmes de ne pas croiser les bras. Débutée à 9heures, madame Anne-Marie MAMPOUYA a coordonnée a bien cette activité jusqu'à la fin de la matinée 12heures. Près d'une cinquantaine de femmes ont pris part à cette activité.
Corinek. |
lundi 7 décembre 2009
Elles sont debout.
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